
Comment verdir efficacement votre flotte automobile ?
Engagez la transition énergétique de votre parc de véhicules
Et si vous verdissiez votre flotte automobile tout en maîtrisant vos coûts ? Notre service de verdissement vous accompagne à chaque étape :
- l’analyse des usages réels
- l’élaboration d’une Car Policy verte
- l’audit de vos infrastructures
- l’installation de bornes de recharge (IRVE)
- le suivi des consommations et de la maintenance
Chaque solution est personnalisée selon votre secteur, la taille de votre flotte, vos contraintes métiers et votre budget. Nous vous aidons à identifier les véhicules les plus adaptés, à optimiser les dépenses énergétiques et à bénéficier des aides fiscales disponibles.
En centralisant vos besoins via un interlocuteur unique, vous gagnez en simplicité et en efficacité. Avec notre savoir-faire technique et réglementaire, transformez sereinement le verdissement de votre flotte en levier de performance.
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Les bénéfices d’un verdissement de parc réussi
Réduction durable des coûts de la flotte automobile
Un verdissement de flotte automobile bien conduit ne se limite pas à une démarche écologique : il s’agit aussi d’un levier financier puissant. L’électrification progressive permet de réduire fortement les dépenses en carburant, poste le plus lourd d’une flotte thermique. De plus, les véhicules récents, qu’ils soient hybrides ou électriques, nécessitent moins d’entretien grâce à une mécanique simplifiée.
À cela s’ajoute une fiscalité allégée : bonus écologique, exonérations de taxes ou amortissement renforcé contribuent à améliorer la rentabilité du parc. Ces gains, cumulés sur plusieurs années, offrent une réduction durable du TCO (Total Cost of Ownership, ou coût global de possession).

Contribution à la performance RSE de l’entreprise
Un parc automobile plus vert représente également un atout en matière de RSE. Réduire les émissions de CO₂ et limiter l’impact environnemental renforce l’image de marque de l’entreprise. Pour les collaborateurs, disposer de véhicules plus respectueux de l’environnement constitue un avantage apprécié, qui valorise l’employeur et favorise la fidélisation.
Du côté des partenaires et des clients, le verdissement de flotte devient une preuve concrète d’engagement. En affichant des résultats mesurables, l’entreprise gagne en crédibilité et se positionne comme un acteur responsable, capable de conjuguer performance économique et responsabilité sociétale.
Anticipation des évolutions réglementaires pour rester performant
Enfin, verdir sa flotte permet d’anticiper les restrictions à venir. Les seuils d’émissions de CO₂ se durcissent, les ZFE se généralisent (jusqu’à quand ?) et les quotas de véhicules propres deviennent obligatoires dans les appels d’offres publics et privés. En se préparant dès maintenant, une entreprise évite les pénalités et sécurise ses opérations de mobilité.
Cet avantage se traduit aussi en compétitivité. Les entreprises déjà engagées dans le verdissement disposent d’un temps d’avance sur leurs concurrentes. Elles s’adaptent plus facilement aux nouvelles normes, tout en profitant d’aides financières et d’une meilleure image sur leur marché.
Un interlocuteur unique pour centraliser tous vos besoins
Audit des usages
Analyser les usages réels pour comprendre les besoins et proposer des réponses adaptées.
Scoring d'éligibilité
Veiller à ce que chaque conducteur soit effectivement admissible à des solutions plus respectueuses de l'environnement.
Car Policy verte
La compréhension des usages et la maîtrise du marché permet de proposer un catalogue véhicule optimisé.
Audit des infrastructures
Vérifier les sites pour garantir leur capacité technique à accueillir de nouveaux modes de recharge.
Installation d'infrastructures de recharge
Les bonnes solutions techniques et le bon niveau pour répondre aux besoins croissants.
Supervision et maintenance
Avoir les bons outils pour superviser son parc de bornes, suivre les consommations et les maintenances.
Solution de paiement
Avoir une solution de paiement adaptée à toutes les situations : itinérance, domicile, sur site, etc.

La pression réglementaire et environnementale transforme profondément la gestion de flotte automobile. Entre les Zones à Faibles Émissions (ZFE), les obligations fiscales et les attentes croissantes en matière de RSE, les entreprises n’ont plus le choix : elles doivent accélérer le verdissement de leur flotte automobile.
Ce verdissement est rendu possible par la transition énergétique du parc avec l’adoption de nouvelles motorisations, et la modernisation de l’organisation des déplacements. Tout en pensant à l’intégration des enjeux sociaux et économiques.
Au-delà d’une simple contrainte légale, il s’agit d’une opportunité pour améliorer l’efficacité de sa flotte. Les entreprises qui anticipent cette transition gagnent en conformité, en attractivité et en performance économique.
Le verdissement de flotte automobile : de quoi parle-t-on ?
Définition du verdissement de flotte et défis connexes
Le verdissement d’une flotte automobile désigne l’ensemble des actions menées par une entreprise pour réduire l’impact environnemental de son parc de véhicules. Il s’agit d’une application de la transition énergétique au secteur de la mobilité professionnelle.
Cela passe par l’intégration progressive de motorisations moins polluantes, c’est à dire hybrides, électriques, voire hydrogène à terme, et par une gestion plus raisonnée des déplacements. L’objectif est double : limiter les émissions de CO₂ (conformité réglementaire et image RSE) et optimiser les ressources financières consacrées au parc.
Mais cette démarche soulève aussi de nombreux défis. D’un point de vue environnemental, les entreprises doivent se conformer à des normes de plus en plus strictes, notamment dans les grandes métropoles. Sur le plan économique, l’électrification entraîne des investissements importants, tant pour l’achat des véhicules que pour l’installation des bornes de recharge. Enfin, le volet social ne doit pas être négligé : la réussite du verdissement dépend aussi de l’adhésion des collaborateurs, qui doivent être accompagnés dans leurs nouveaux usages.
Pourquoi les entreprises doivent verdir leur parc automobile ?
Si le verdissement s’impose, c’est d’abord parce que le cadre réglementaire l’exige. Sans entrer ici dans le détail, de nombreuses lois et dispositifs fiscaux incitent ou obligent déjà les entreprises à transformer leur flotte. Cette tendance va se renforcer dans les prochaines années.
Mais les réglementations ne sont pas le seul moteur. Les attentes des collaborateurs jouent un rôle croissant : beaucoup souhaitent utiliser des véhicules plus respectueux de l’environnement, alignés avec leurs valeurs personnelles. Une flotte « verte » devient ainsi un argument d’attractivité pour l’employeur.
Enfin, le verdissement constitue un pilier de la stratégie RSE. Il permet de renforcer l’image de responsabilité sociétale de l’entreprise auprès des clients, partenaires et investisseurs.
Cadre réglementaire et fiscal du verdissement de flotte automobile
Le verdissement d’une flotte automobile ne relève pas uniquement d’une volonté d’entreprise. Il est encadré par un arsenal réglementaire et fiscal qui impose un rythme de transition, mais qui propose aussi des incitations pour en faciliter la mise en œuvre.
Obligations légales et fiscales
Plusieurs mesures structurent déjà la transformation des parcs. La Taxe Incitative Annuelle (TIA) (remplaçant la TVS) vise à limiter l’usage des véhicules fortement émetteurs. La Loi Climat & Résilience et la LOM imposent des quotas croissants de véhicules propres lors des renouvellements, notamment pour les grandes flottes. Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) restreignent quant à elles l’accès des véhicules polluants dans les centres urbains (pour le moment), obligeant les entreprises à adapter leur parc. Enfin, des décrets successifs précisent les seuils d’émissions et les pourcentages de véhicules électriques ou hybrides à intégrer d’ici 2030.
Incitations et aides disponibles
Pour équilibrer ces contraintes, plusieurs dispositifs financiers soutiennent les entreprises. Le bonus écologique et la prime à la conversion réduisent le coût d’acquisition des modèles électriques ou hybrides. L’amortissement fiscal renforcé permet de déduire une part plus importante du prix d’achat des véhicules propres. Certaines taxes, comme la carte grise ou la TIA, peuvent aussi être exonérées totalement ou partiellement selon le type de motorisation. Ces leviers constituent un réel atout pour amortir l’investissement initial et accélérer l’électrification des flottes.
Risques et pénalités
Le non-respect de ces règles peut coûter cher. Une flotte trop polluante entraîne des pénalités fiscales importantes et expose à des redressements URSSAF en cas de mauvaise déclaration. Les entreprises en retard risquent également une perte d’accès aux marchés publics et des sanctions locales, notamment dans les ZFE. À ces risques financiers s’ajoute un impact réputationnel : une flotte non conforme affaiblit la crédibilité RSE et peut ternir l’image employeur.
3 piliers pour une flotte automobile plus verte
Modernisation du parc de véhicules et choix des motorisations
Le premier levier du verdissement d’une flotte passe par la modernisation du parc via le sourcing des véhicules. Les motorisations thermiques, encore majoritaires, doivent être optimisées en privilégiant les modèles les moins émetteurs. Parallèlement, les hybrides et hybrides rechargeables offrent une solution intermédiaire, adaptée aux trajets mixtes. Les véhicules 100 % électriques gagnent du terrain grâce aux aides fiscales et aux infrastructures de recharge en développement. Enfin, l’hydrogène reste une technologie émergente mais prometteuse pour les flottes à forte intensité kilométrique.
Chaque entreprise doit donc définir une stratégie progressive : combiner différentes motorisations selon les profils de conducteurs, les types de trajets et les contraintes budgétaires.
Gestion des usages et de la mobilité
Le deuxième pilier concerne la gestion des usages. Réduire l’empreinte carbone d’un parc ne repose pas seulement sur les véhicules, mais aussi sur la façon dont ils sont utilisés. La mutualisation permet de limiter le nombre de voitures en circulation et d’optimiser leur taux d’utilisation. L’autopartage et le covoiturage d’entreprise répondent aux mêmes objectifs : réduire les kilomètres parcourus et limiter la consommation.
En parallèle, encourager les alternatives à la voiture individuelle devient essentiel. Inciter les collaborateurs à utiliser les transports publics, à recourir aux mobilités douces (vélo, trottinette, marche) ou à adopter une organisation plus flexible du travail (télétravail, coworking) contribue directement à réduire les émissions globales de l’entreprise.
Politique interne et sensibilisation des conducteurs
Le troisième pilier repose sur la dimension humaine. Le succès du verdissement dépend largement de l’adhésion des collaborateurs. La mise en place de formations à l’écoconduite permet de réduire la consommation de carburant et l’usure des véhicules. La communication interne joue aussi un rôle clé pour expliquer les objectifs de la transition et valoriser les résultats obtenus.
Enfin, intégrer ces mesures dans une Car Policy verte garantit la cohérence et la pérennité de la démarche. Ce document doit préciser les règles d’attribution, l’utilisation des véhicules propres et les bonnes pratiques attendues des conducteurs.

Simon Rauturier, Groupe PLENETUDE
Directeur administratif et financier
« Chez le Groupe PLENETUDE, nous avons fait le choix d’Autobernard Business Solutions pour avoir un interlocuteur unique afin de mieux centraliser la gestion de notre flotte automobile. Nous avions un besoin d’audit de notre parc concernant les usages et l’installation de bornes électriques. »
3 axes pour verdir efficacement sa flotte automobile
Réaliser un audit énergétique et environnemental
Avant de mettre en place des actions, il est indispensable de connaître précisément l’état actuel de la flotte. L’audit énergétique et environnemental permet de cartographier les usages :
- nombre de kilomètres parcourus
- répartition des trajets (urbains, interurbains, longue distance)
- consommation réelle de carburant ou d’électricité
- émissions de CO₂ associées
Cet état des lieux met en évidence les véhicules les plus coûteux ou les plus polluants. Il sert de base pour hiérarchiser les priorités de renouvellement et pour construire une stratégie adaptée aux contraintes de l’entreprise.
Définir une stratégie de transition progressive
Une fois les usages identifiés, il convient d’élaborer une stratégie claire et progressive. Fixer des objectifs chiffrés (réduction des émissions, baisse du TCO, part de véhicules verts dans la flotte) est essentiel pour mesurer les résultats.
Ces objectifs doivent être réalistes et adaptés à l’activité :
- court terme (remplacement de véhicules fortement émetteurs)
- moyen terme (développement des hybrides rechargeables)
- long terme (intégration massive de véhicules électriques ou hydrogène)
Le choix des indicateurs de performance joue un rôle central : émissions de CO₂/km, coût par kilomètre, consommation énergétique moyenne, taux d’utilisation des véhicules électrifiés. Bien choisis, ces indicateurs permettent d’aligner les ambitions environnementales avec les contraintes économiques.
Mettre en place un plan d’action réaliste
La stratégie doit ensuite se traduire en actions tangibles. Cela implique d’établir un calendrier de renouvellement du parc, en commençant par les véhicules les plus coûteux ou les plus polluants. L’intégration progressive des véhicules électriques, hybrides ou hydrogène se fait selon la maturité de l’entreprise et l’évolution des infrastructures (bornes de recharge, partenariats avec opérateurs de mobilité).
Un suivi rigoureux via des logiciels de gestion de flotte et des tableaux de bord adaptés garantit la cohérence de la démarche. Ce pilotage en continu permet d’ajuster les actions, d’anticiper les besoins futurs et de maximiser les bénéfices financiers et environnementaux du verdissement.
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PME : verdir une flotte de taille moyenne
Pour une PME, le verdissement de flotte automobile doit rester pragmatique et progressif. Ces entreprises disposent rarement de ressources illimitées. C’est pourquoi les solutions de location longue durée (LLD) ou de location avec option d’achat (LOA) représentent souvent la meilleure option. Elles permettent d’intégrer des véhicules hybrides ou électriques sans immobiliser trop de capital.
Les PME peuvent aussi s’appuyer sur les aides fiscales et écologiques disponibles : dispositif des CEE (Certificats d’économie d’énergie), exonérations des taxes à l’utilisation, sans oublier les aides régionales. En parallèle, l’installation de bornes de recharge mutualisées (IRVE partagée) au sein de zones d’activité ou de parkings communs offre une alternative rentable. Cette approche graduelle permet de tester l’électrique sur une partie de la flotte, tout en maintenant une souplesse opérationnelle.
Grands comptes : structurer une politique de mobilité durable
À l’inverse, les grands comptes disposent souvent de flottes conséquentes réparties sur plusieurs sites. Dans ce contexte, le verdissement de flotte automobile prend une autre dimension. Il ne s’agit plus seulement de remplacer certains véhicules, mais de structurer une véritable politique de mobilité durable.
Cela implique la mise en place de reportings avancés pour suivre les émissions, les consommations et le TCO global. Ces données servent ensuite à piloter une stratégie multi-énergies : hybrides rechargeables pour certains usages, électriques pour les trajets urbains, voire hydrogène sur des segments spécifiques.
Enfin, le verdissement devient un levier direct de RSE. Intégré dans les rapports extra-financiers, il renforce l’image responsable de l’entreprise auprès des collaborateurs, des investisseurs et des partenaires. Pour les grands comptes, l’enjeu est donc à la fois opérationnel et stratégique : combiner économies, conformité réglementaire et avance sur le verdissement.
Infrastructures et accompagnement nécessaires au verdissement
Installation des bornes de recharge – IRVE
Le verdissement d’une flotte automobile ne peut réussir sans un réseau de recharge fiable. Les entreprises doivent donc investir dans des Infrastructures de Recharge pour Véhicules Électriques (IRVE) adaptées à leurs besoins. Cela inclut aussi bien les bornes sur site que les partenariats avec des opérateurs publics pour les déplacements longue distance.
La gestion des multi-sites est un défi supplémentaire : il faut s’assurer que chaque implantation dispose de bornes suffisantes, avec une répartition équilibrée entre charges rapides et lentes. Pour les collaborateurs qui utilisent un véhicule de fonction à titre personnel, la mise en place de bornes à domicile peut compléter le dispositif. Ces installations ouvrent droit à certaines aides financières, ce qui en réduit le coût global.
Outils de pilotage et suivi des émissions
Une fois l’infrastructure en place, l’entreprise doit mesurer l’impact réel de sa transition énergétique. Les logiciels de gestion de flotte jouent ici un rôle clé. Ils centralisent les données de consommation, de kilométrage et d’émissions de CO₂. Grâce à des tableaux de bord personnalisés, les gestionnaires suivent en temps réel la performance environnementale et financière du parc.
Ces outils permettent également de comparer les résultats aux objectifs fixés dans la stratégie de transition. Ils facilitent la prise de décision en mettant en évidence les leviers d’optimisation : renouvellement prioritaire de certains véhicules, ajustement des contrats ou développement de l’autopartage.
Accompagnement par un expert flotte automobile
Enfin, réussir le verdissement de sa flotte automobile nécessite souvent un accompagnement spécialisé. Un prestataire expert en conseil ou en gestion externalisée apporte une vision globale et des solutions pertinentes. Il réalise un audit, propose des scénarios de transition et assure le suivi opérationnel.
Externaliser tout ou partie de la gestion permet de gagner du temps et de gagner en performance. L’expert accompagne aussi l’entreprise dans la recherche d’aides, dans le choix des motorisations et dans la planification des investissements. Grâce à cet appui, la transition énergétique se fait plus rapidement, avec moins de risques et une meilleure maîtrise des coûts.

Le verdissement d’une flotte automobile est une nécessité stratégique. Comme nous l’avons vu, il repose sur plusieurs piliers : moderniser les motorisations, repenser les usages et accompagner les conducteurs. S’y ajoutent des leviers indispensables comme un cadre réglementaire clair, des infrastructures adaptées et des outils de pilotage performants.
Planifier cette transition dès aujourd’hui permet de réduire les coûts, de rester conforme aux obligations légales et d’améliorer la performance globale de l’entreprise. Attendre, au contraire, expose à des surcoûts et à un risque de perte de compétitivité.
Les prochaines étapes dépassent la simple électrification. Elles incluent le développement de la mobilité partagée, l’intégration des mobilités douces et l’usage d’outils digitaux toujours plus précis pour suivre les émissions et optimiser le TCO. Autant de leviers pour construire une mobilité d’entreprise durable.
FAQ
Quelles sont les étapes clés pour verdir sa flotte automobile en entreprise ?
Le verdissement d’une flotte automobile repose sur une méthodologie progressive. La première étape consiste à réaliser un audit de flotte afin d’identifier les usages réels, le profil des trajets et les véhicules les plus polluants. Ensuite, l’entreprise doit définir une stratégie de transition énergétique, en fixant des objectifs chiffrés (part de véhicules électriques, réduction des émissions de CO₂, baisse du TCO). Vient ensuite la mise en place d’un plan de renouvellement adapté, intégrant de nouvelles motorisations (électrique, hybride, hydrogène selon les besoins). Enfin, le succès du verdissement passe par un suivi régulier des performances grâce aux outils de gestion de flotte et par la sensibilisation des conducteurs à l’éco-conduite.
Quels véhicules privilégier pour réussir la transition énergétique d’un parc auto ?
Le choix des véhicules dépend avant tout des profils de trajets et des usages métiers. Pour des déplacements urbains ou interurbains courts, les voitures électriques sont idéales grâce à leur coût d’usage réduit et leur accès garanti aux Zones à Faibles Émissions (ZFE). Pour des trajets plus longs ou mixtes, les hybrides et hybrides rechargeables offrent un bon compromis entre autonomie et réduction des émissions.
Les entreprises ayant des besoins intensifs en logistique peuvent aussi envisager des utilitaires électriques ou hybrides adaptés au transport. Enfin, certaines sociétés commencent à tester l’hydrogène, prometteur pour les longues distances. L’essentiel est de trouver un équilibre entre impact environnemental, fiscalité avantageuse et Total Cost of Ownership (TCO).
Comment concilier verdissement de flotte et optimisation des coûts pour l’entreprise ?
Contrairement aux idées reçues, verdir une flotte automobile ne rime pas forcément avec surcoûts. Les véhicules électriques et hybrides offrent un TCO souvent inférieur grâce à des dépenses réduites en carburant, en entretien et en fiscalité (exonérations de TVS, bonus écologique, suramortissement). Pour optimiser les coûts, il est conseillé d’adopter une stratégie de renouvellement progressif, en commençant par les véhicules les plus coûteux ou les plus utilisés.
La mise en place de solutions de mobilité alternatives (covoiturage, autopartage, LLD verte) permet également de limiter les investissements lourds. Enfin, un suivi précis via des logiciels de gestion de flotte garantit la maîtrise budgétaire tout en atteignant les objectifs environnementaux.









